En ce moment, et comme tous les ans, les preux chevaliers des temps moderne, matérialisé sous la forme de « grande surface » font ce que l’on peut-appeler un geste honorable, en permettant au restaurant du cœur, et au banque alimentaires d’investir les lieux à fin de récolter pour les plus démuni, de précieuse denrées alimentaires en tout genre payer généreusement par les con trie bu a bleu que nous sommes tous
(vous savez bien, tous ceux et celle qui touche majoritairement des salaire de misère quand d’autre, glandant leurs q assis sur une chaise touche des salaires de ministre pour ne rien faire, si ce n’est ce torcher avec nôtre argent)
Mais voilà, si cela à des apparences honorables pour beaucoup d’entre vous, pigeons d’une société qui ne fait qu’empiré, pour d’autre, qui tel des faucons ont leurs yeux rivé sur une proie, cela semble bien amère et de mauvais gouts
Car que pouvons-nous pensée de ses entreprises tel auchan, cora, hyper u, l’eclerc qui prône leurs soit disant bonne actions qui cache enfaite un plan de génie visant à doper leurs bénéfice en faisant acheter plus les pigeons que sont les gens dans la grande majorité des cas tout en passant pour des cœurs tendre ?
Alors que derrière, dans les « coulisse » de la grande surface, il jette par beine entière des tonnes de denrées alimentaires qu’il préfère jeter plus tôt que de les donné, pire, il les asperge de produits vaisselle et autres saloperie à fin que personne ne puisse récupéré quoi ce soit, et cela alors même que les banque alimentaires et autre associations se démène pour essayer de remplir de misérable petit boxe de nourriture acheter par un peuple qui lui-même ce meurt à petit feu
Mais vous avez raison, je le vois, vous aimer ça, qu’on se foute de vôtre gueule, vous adoré qu’on vous fasse croire que vous êtes des gens bien parce que vous achetez un paquet de riz pour le donné ensuite à ceux qui en ont le plus besoin, seulement, ceci n’est en rien de la gentillesse, seulement de la vanité propulser par la connerie humaine collectifs des moutons qu’on mène par le bout de la baguette, des moutons bipède, humain