Caledonia

Des histoires, des rencontres, des moments inoubliable, la vie palpitante de karen sur internet

Mercredi 18 janvier 2012 à 22:51

Aujourd'hui, le monde, nôtre génération viens d'assisté à la naissance d'un des gang les plus puissant et redouter qui et jamais exister de toute l'histoire de l'humanité, détrônant l'ex gang des oignon-fou qui avez fait couler beaucoup de larme...


Nous savons encore peu de chose au sujet du gang des pastèque, mais nous pouvons dors et déjà mettre un visage sur leur chef
 
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Il est cerveau du gang, il gère d'une main de faible ses sbire aussi nombreux que les poils pubiens dans le slip d'un morveux de 10 ans

Con sidéré, extrêmement inoffensif, il est rechercher par un terre pôle et le zèbre bille aie pour avoir oublier son porte feuille chez une vieille dame qu'il à sauver des flammes, il constitue la priorité des service de poule lisse

Si vous croisez le chef du gang des pastèque, ne tentez pas de l'approcher en groupe, une seul(e) personne suffira

C'était 4 reine, pour noob news tv

Par pantin_revolutionnaire le Jeudi 19 janvier 2012 à 0:22
-_-" ...
Par pantin_revolutionnaire le Jeudi 19 janvier 2012 à 0:54
Je donnerai cher pour voir la tronche du grand esprit superieur qui nous a pondu cet article ... :p
Par pantin_revolutionnaire le Jeudi 19 janvier 2012 à 1:26
Je commence à esperer qu'au moins tu ne sois pas une fille ... -_- c'est d'un gout douteux ... :p Scoubidouuuuuuuuuuuuuu!
Par Caledonia le Jeudi 19 janvier 2012 à 1:33
ça c'est méchant T_________T
Par pantin_revolutionnaire le Jeudi 19 janvier 2012 à 1:35
ok ok ... tap tap tap sur l'epaule en signe d'etre desolé pour la reflexion mal tournée ;)
Par pantin_revolutionnaire le Jeudi 19 janvier 2012 à 1:46
L’isolement

Souvent sur la montagne, à l’ombre du vieux chêne,
Au coucher du soleil, tristement je m’assieds ;
Je promène au hasard mes regards sur la plaine,
Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.

Ici, gronde le fleuve aux vagues écumantes ;
Il serpente, et s’enfonce en un lointain obscur ;
Là, le lac immobile étend ses eaux dormantes
Où l’étoile du soir se lève dans l’azur.

Au sommet de ces monts couronnés de bois sombres,
Le crépuscule encor jette un dernier rayon,
Et le char vaporeux de la reine des ombres
Monte, et blanchit déjà les bords de l’horizon.

Cependant, s’élançant de la flèche gothique,
Un son religieux se répand dans les airs,
Le voyageur s’arrête, et la cloche rustique
Aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts.

Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente
N’éprouve devant eux ni charme ni transports,
Je contemple la terre ainsi qu’une ombre errante :
Le soleil des vivants n’échauffe plus les morts.

De colline en colline en vain portant ma vue,
Du sud à l’aquilon, de l’aurore au couchant,
Je parcours tous les points de l’immense étendue,
Et je dis : « Nulle part le bonheur ne m’attend. »

Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières,
Vains objets dont pour moi le charme est envolé ?
Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères,
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé.

Que le tour du soleil ou commence ou s’achève,
D’un oeil indifférent je le suis dans son cours ;
En un ciel sombre ou pur qu’il se couche ou se lève,
Qu’importe le soleil ? je n’attends rien des jours.

Quand je pourrais le suivre en sa vaste carrière,
Mes yeux verraient partout le vide et les déserts ;
Je ne désire rien de tout ce qu’il éclaire,
Je ne demande rien à l’immense univers.

Mais peut-être au-delà des bornes de sa sphère,
Lieux où le vrai soleil éclaire d’autres cieux,
Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre,
Ce que j’ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux !

Là, je m’enivrerais à la source où j’aspire ;
Là, je retrouverais et l’espoir et l’amour,
Et ce bien idéal que toute âme désire,
Et qui n’a pas de nom au terrestre séjour !

Que ne puis-je, porté sur le char de l’Aurore,
Vague objet de mes vœux, m’élancer jusqu’à toi !
Sur la terre d’exil pourquoi restè-je encore ?
Il n’est rien de commun entre la terre et moi.

Quand la feuille des bois tombe dans la prairie,
Le vent du soir s’élève et l’arrache aux vallons ;
Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie :
Emportez-moi comme elle, orageux aquilons !
Par pantin_revolutionnaire le Jeudi 19 janvier 2012 à 1:47
T'aurais pu l ecrire celui ci.Bonne nuit.
 

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